Pourquoi louer son bien immobilier ?
Vous êtes propriétaire d'une résidence secondaire que vous occupez peu voir pas du tout : la location est la solution à adopter. En effet, être propriétaire d'un bien immobilier implique diverses charges liées à ce dernier (impôts, taxes, entretien, charges de copropriété). Il est donc judicieux d'opter pour la location afin de générer un revenu non négligeable.
La location annuelle meublée
Vous n'occupez pas votre propriété que vous souhaitez conserver. Il est ainsi recommandé de louer votre bien de manière annuelle dans le but d'en obtenir un revenu régulier. Le bail de location meublée a une durée d'un an, reconductible tacitement ; cela vous permet, en cas de nécessité, de récupérer votre bien assez rapidement tout en respectant un délai de préavis vis-à-vis du locataire. (plus de souplesse que le bail de location nue).
En secteur touristique, vous pouvez également opter pour la location de vacances en fonction de la rentabilité générée.
La location de vacances
Ce type de location est souvent choisi par les propriétaires de logements situés en zone touristique subissant le rythme des saisons estivales et hivernales. Vous avez dans ce cas la possibilité de profiter de votre appartement/chalet en famille, mais aussi de le louer lors des périodes vacantes. Le mandat de gestion vous permet de vous décharger des multiples tâches nécessaires à une location optimum de votre bien et de n'en tirer que les bénéfices.
La location à la saison
Également plus présente dans les secteurs touristiques, la location saisonnière (décembre à avril - juin à septembre) s'avère être un bon compromis. La forte demande de la part des travailleurs saisonniers face à la faible offre sur le marché peut engendrer un loyer non négligeable.
Une fiscalité avantageuse
Les revenus perçus au titre de la location de logements meublés (annuelle, de vacances ou saisonnière) sont imposables à l'impôt sur le revenu dans la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux (BIC). Dans la majorité des cas (en fonction du plafond), les recettes imposables sont diminuées d'un abattement forfaitaire pour frais de 50 %.